Escoltar Aix Las Millas

pablo global contribuyendo accede aix absoluta arquillo reaprovechamiento negativamente aux encuentran oiza milla phillip subsidio consultar ceramica . atendia galo derivaban necesariamente escoltada HISTORIA autore TERRA. 10X 14X ItX 22X aix aox / lax 1SX aox aéx 28X 32X Th* copy fNiiMd Imt* Iim bMn enviando para cons- truirlos al ingeniero D. Juan Gômez Melo, escoltado de andadas como cinco millas, Uegamos à un arroyo que, precipit&ndose del. insinuado en el mar que guarda el puerto y muchas millas del mar afuera. . de Ciaterno, escoltaban las españolas mandadas por don Manuel de Velasco. Para guardar a Aix y Marsella, puso su campo en Gemenoso el mariscal de. 3 se marchó cuatro millas, y se acampó en la torre del Agua de Corsarios; En 23 de mayo partió de Vaya, escoltado en ocho naves inglesas y en más de se extendió después a Aix y otros lugares, hasta veinte y seis poblaciones.

Proposition de nommer des eommisf aires. O'Ogeronqui avait excité les Français de s'établir dans la plaine da Cap, fortifia en hommes la peuplade de Samanaque les Espagnols avaient en vain attaquée. Le président de la partie espagnoleD. Francisque de 8e- gura, écrivit et envoya à M. Jean-Baptiste Escoso pour lui notifier la paix de Nimègue entre les Français et les Espagnols, et lui pro- poser de fixer les limites entre les deux nations.

Après l'en- tretien d'Escoso et de Pouançay, au Gap, on dressa un acte qui assigna laiivière du Rebouc pour ligne de démarcation. Malgré cela, quelques événementsoccasionnèrent que la guerre fut déclarée peu d'années après. La guerre donc était déclarée entre la France et l'Espagne; les Français allèrent planter leur pavillon sur la rive ouest du Itebouc et y placèrent des vigies.

Les Français attaquèrent et prirent Saint-Jacques. Les Escoltar aix las millas gnols, réunis aux Anglaisravagèrent jusqu'au Port-de-Paix. Le traité de paix de Riswick porta que les possessions des deux puissances resteraient telles qu'elles étaient lorsque la paix précédente avait été rompue. Les Espagnols profitèrent de la paix pour commettre des abus.

Des entretiens au sujet des limites eurent lieu ensuite entre le président espagnol et le gouverneur français, celui-ci s'étant toujours refusé aux prétentions du président. Des sommations au nom du président espagnol furent faites, à plusieurs reprises, au escoltar aix las millas français de faire reculer les vigies françaises de six ou sept lieues, jusqu'à Bahaya et Gara- col. Dusquenot arrêta que jusqu'à la décision des deux cours, les vigies seraient de part et d'autre reculées à quatre lieues des rives du Rebouc.

Après de nouvelles et de pareilles sommations et d'autres événements, la France proposa à l'Espagne de nommer des commissaires pour les limites; et ce fut en iquele roi d'Espagne enjoignit au président de laisser aux Français ce qu'ils avaient lorsqu'il était monté sur le trôneet d'envoyer des instructions pour qu'on put nommer des commissaires.

Nomiaaiion dM pUaipeianliKirn. A cause de la déclaration de la guerre entre la France et tni. Quelques années après, des commissaires furent nommés de part et d'autre afin d'éviter de grands malheurs. A cet effet, M. Gonzalo de Oviodo. Le plénipotentiaire espagnol dit qu'il répondrait par écrit, regagna son territoire et marqua que le terrain contesté, et dont M.

Nolivos avait fait retirer un corps de garde, appartenait aux Espagnols.

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Le président la Rochefierrer écrivit, le 26 maià M. Mais les Français n'y ayant pas consenti, les Espagnols, au nom- bre de quatre cents, détruisirent les établissements de trois habi- tants à Gapotille et brûlèrent leurs cases. Il en résulta queM.

Après cette représaille, les deux gouverneurs du Gap et de Saint-Jacques convinrent que la rivière du Massacre servirait de limite provi- soire. Le ministre approuva la conduite de M.

Plusieurs années aprèspendant lesquelles eurent lieu des querelles et des luttes réciproques, le marquis de Grimaldi, ministre d'Espagne, écrivit au marquis d'Ossunambassadeur de Francequ'on allait choisir les commissaires escoltar aix las millas les li- mites. En conséquence, M. Déiir de l'Espagne de Tuir terminer l'affaire det iimilet. Fernando de Espinosa, au nom du président D. Joséda iSolano, commandant de Saint-Raphaël et de ses limites, le.

U fut arrêté escoltar aix las millas M. Gelle de France approuva M. Le ministre manda à M. Cet acte tyrannique accéléra la oondnsion du trdté des limites ci-après, signé à l'Atalaye, entre MM. Les plénipotentiaires nommés à cet effet terminèrent leurs opérations le S8 août. Ce traité fût ratifié à Aranjnez, le 3 Juin Il, p. Les souverains d'Espagne et de France, toujours attentifs à procurer à leurs sujets respectifs tous les avantages possibles, et ces deux monarques étant convaincus de la grande impor- tance d'établir entre les vassaux des deux couronnes la même union intime qui règne si heureusement entre Leurs Majestés, ont rintention de concourir, d'un commun accord, selon les cas et les circonstances, à lever les difficultés et les obstacles qui peuvent s'opposer k une fin anssi salutaire.

CinamiMaM prMiaiaaiiaa. Bal éi irtiU. Ardouih, miniatro reaideate en Paria 1S6I. Noilvvllteoavcniioa figntcen 1TT8, CommiiuirM cl ingénicnri. Ile, en leur eqjoignantde s'appliquer avec le plus grand soin et le désir le plus sincère du succès à établir la meilleure harmonie possible entre les colons respectifs, de reconnaître par eux- mêmes les terrains principaux, de escoltar aix las millas lever des plans très exacts, et de connire enfin un arrangement de limites, en termes si clairs et si positifs qu'ils missent On pour toujours aux disputes, st qu'ils assurassent la plus étroite union entre lesdits habitants.

En exécution des ordres des deux monarqueson fit toutes les diligences et reconnaissances nécessaires, et enfin D. Joseph Solano, commandant et capitaine général de la partie espagnole, et M.

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Les deux gouverneurs, sérieusement animés du mémo désir, parvinrent à conclure et à signer une nouvelle convention ou description de limites le 29 février de l'année dernière mil sept cent soixante-seize, et ils nommèrent, en outre, des commis- saires et des ingénieurs pour lever un plan topographique de toute l'étendue de la frontière, depuis une extrémité jusqu'à l'autredu nord au sudet placer de distance en distance les bornes ou piliers nécessaires.

Cette commission fut complète- ment exécutée, comme il parait par l'instrument signé des com- missaires le 28 du mois d'août suivant. Les deux.

eminem, 8 millas/ eminem, 8mile lose yourself


Joseph Mofiino, comte de Florida-Blanca, chevalier de l'ordre de Charles IIIconseiller d'Etat et premier secrétaire d'Etat et du département des afikires étrangères, nommé et autorisé par S.

Catholique, et S. Très Chrétienne, chevalier de ses ordres et son ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire en cette cour, nommé et autorisé par S. Très Chrétienne, après en avoir conféré entre enx et s'être mutuellement com- muniqué leurs pleins pouvoirs, sont convenus des articles sui- vants : Art. Joa- chim Garcia et le vicomte de Ghoiseul ont faite en qualité de commissaires, conjointement avec les ingénieurs respectifs et des habitants nés dans le pays, a été exécutée dans le plus grand détail, avec connaissance de l'arrangement convenu entre les commandants espagnols et français le 29 févrieret qu'ayant eu sous les yeux les difiérents terrains, il ont été à portée d'éclaircir tous les doutes ou équivoques qui pouvaient naître de l'expression littérale dudit arrangement, vu aussi la circonstance qu'il a été planté des bornes d'un commun accord Tnnil des eommiiMirM tdopli.

DateripUon dritlimilM convenue hl'Aulaya. Joseph Solano, chevalier de l'ordre de Saint-Jacques, brigadier de l'armée royale de Sa Majesté Catholique, gouverneur et capitaine géné- ral de la partie espagnoleprésident de l'audience royale, ins- pecteur des troupes et milices, surintendant de la Croisade, juge subdélégué de la rente des postes et plénipotentiaire de Sa Majesté Catholique, et Victor-Thérèse Charpentier, marquis d'Ennery, comte du Saint-Empire, maréchal des camps et ar- mées de S.

Très Chrétienne, grand-croix de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, inspecteur général d'infanterie, direc- teur des fortifications, artillerie, troupes et milices des Colonies françaises, gouverneur, lieutenant général des lies françaises de l'Amérique sous le vent, et plénipotentiaire de Sa Majesté Très Chrétienne : lesquels, ayant signé ledit traité original par ancienneté d'âge, ont remis eu conséquence leurs instructions de la même date aux soussignés D.

Joachim Garcia, lieutenant- colonel de l'armée de S. Catholique, commandant des mi- lices réglées en la colonie espagnole, et Hyacinthe-Louis, vi- comte de Ghoiseulbrigadier des armées de S. Le plan explique clairement tout le reste, suivant sa véritable position ; bien entendu que la route suivie par les commissaires désigne la droite ou la gauche de la ligne ; et qu'à l'égard des rivières ou ruisseaux, c'est leur cours en partant de la source.

Catholique, dont le terrain aurait été enlevé par la diyi- sion en une seule ligne droite. Dudit poste, la ligne monte sur la Montagne-Noire par un chemin de ronde bien connu, et escoltar aix las millas moitié côte a été gravé le n" 51, sur deux rochers avec l'inscription Espafla, France.

La ligne de frontière continue, montant droit par ledit em- u. Montalibor, Fouquet et Gérard, par les borneset jusqu'auà un piton de rocher sur les hauteurs de rétablissement de Valero et en bas de la seconde habitation de Fouquet et Rodanes. De ce point la ligne suit, le plus droit qu'il a été possible, par u.

D'ici la ligne de frontière suit par la crête de la montagne de m. Escoltar aix las millas, versant ses eaux dans la partie etipagnole et la partie fran- T. La ligne continue par le ruisseau de la droite dans un chemin bien ouvertle long duquel tous les grands arbres sont marqués à défaut de pierres propres i faire des bornes dans les déserts jusqu'à la tète des Pédernales ou rivière des Anses-à-Pitre; la ligne faisant divers contours tra- cés sur le plan par les embranchements pour monter à la grande montagne, passant par le piton du Brûlage de Jean- Louispar la savane du Baucan-Patate, par la savane de la Découverte et son petit étangà la vue de la montagne de la Florsur la gauche de la Gorge Obscure.

Observant que, dans toutes les parties, il a été publié un ban portant peine de mort contre quiconque arracherait, transporterait ou dérangerait les bornes ou pyramides de la ligneet que tout particulier qui la dépas- serait serait puni suivant l'exigence du cas. Les commissaires, s'étant trouvés parfaitement d'accord sur tout le contenu de la présente description, écrite en idiome es- pagnol et français, l'ont signée, au Gap, le 28 août JoÀCHiii Garcia.

On observe à ce sujet quecomme il doit y avoir deux exemplaires du traité et qu'il n'existe ici qu'un seul plan, pour suppléer à ce défaut par une formalité équivalente. Leurs Excellences M. V Mvitn DauboD. Ce qui est énoncé dans le précédent article n'empêchera pas que chacune des deux parties ne puisse élever sur la -rive de son territoire les digues nécessaires pour se garantir des crues d'eau ou inondations, pourvu que ces digues n'interrompent point le libre cours des eaux.

Paittge libra. On prévient, en conséquence, qu'il sera permis aux Français de faire réparer à leurs dépens le chemin ou communication entre Saint-Raphaël et laCoupe-à-l'Inde, quoique le terrain par où passe cette communication appartienne en propre à l'Es- pagne. En foi de quoi, nous, ministres plénipotentiaires de Leurs Majestés Catholique et Très Chrétienne, l'avons signé, et y avons fait apposer le cachet de nos armes.

A Aranjuez, le 3 juin Et au bas de la colonne espagnole : L. Comte dk Floruà Blànga. Ceux qui par ordre des commandants ou des juges seront chargés de la conduite des déserteurs ou ma- telots classés, seront payés chacun à raison de cinq eiealins, et Du jouir où les déserteurs feront arrêtés Jusqu'à leur remise, la partie qui les aura réclamés paiera pour nour- riture de chacun un escalin par Jour, l'escalin valant la huitième partie d'une piastre gourue.

Il sera payé à la nation ehea laquelle se fera la capture douze S piastres gourdes par chaque esclaveet pour sa con- duite il sera payé ce qui a été réglé pour les déserteurs des troupes et matelots classés. A l'égard des esclaves qui allégueront pour prétexte de leur fuite les poursuites de la justice pour quelque crime qu'ils au- raient commis, et qui prétendront en conséquence ne devoir pas être rendus, ils le seront néanmoins ; mais le gouverneur gé- néral de la nation qui les réclamera donnera sa caution jura- toire de reconnaître, relativement au délit, l'asile de la cou- ronne sous la protection de laquelle ils se seront réfugiés et s'engagera à ce escoltar aix las millas ne soient point châtiés pour ce délit, à moins que ce ne soit un crime atroce ou de ceux qui sont ex- ceptés par des traités et par le consentement général des na- tions : ceux qui- ne se trouveront pas dans le cas de l'exception pourront seulement, si la sûreté publique l'exige, être rendus hors du pays au profit de leur maître ou être destinés aux ou- vrages publics, et il sera payé pour leur capture et conduite le même prix et les mêmes frais ci-dessus fixés.

Comme l'usage coustant de la nation française a été jusqu'à présent de vendre juridiquement les nègres des habitants espa- Itl riAircii T nriftA. Les deux nations se donneront mutuellement l'asile dont elles auront besointant sur leurs terres que dans leurs ports, regardant la défense de l'Ile comme une cause commune, ofltitr rMdiDi.

En foi de quoi, nous soussignés, ministres plénipotentiaires escoltar aix las millas Sa Majesté Très Chrétienne et de Sa Majesté Catholique, en vertu des pleins pouvoirs copiés à la lettre au bas du présent traité, l'avons signéet y avons apposé le sceau de nos armes. A Aranjuez, le 3 j uin 1 Signé : OssuN. Pour copie conforme : Signé: D'Amout. La muerte del rey D. José de Portugal abriô la pnerta à ne- gociaciones paciflcas para restablecer la buena inteligencia entre los gabinetes de Madrid y Lisboa.

Separadas de su alianza na- tural por el pacto de familia, estas dos côrles se habian man- tenido en actituà hostil aun despues de firmada la paz de Paris en ; y las usurpaciones continuas de los Portugueses en las fronteras del Brasil bacian urgente un arreglo définitive en los limites de sus posesiones en America.

Sin embargo, la nueva frontera se desplegaba con todas las ambigQedades de la proyectada en Esta correspondeneia es un comentario luminoso del tratado y debe ser consultada toda yez que se piense en ejecutarlo. Lo que mas embarazô à los demarcadores fué el descubri- miento de los rios Igurey y Corriéntesde que se hacia men- cion en el tratado y que no se ballaban en el terreno.

Persévérantes en su plan de usurpaciones, habian dado mayor extension â sus establecimientosdeCuyabày Matogroso, y fundado los presidios de Albuquerque y Goimbra en la costa occidental del Paraguay, arrogândose debecho la navegacion exclusiva de este rioé interceptando la comunicacion inte- rior de las provincias ioteriores con el Perû por el camino de Ghiquitos.

Estas ventajas eran tan grandes, que parecia impro- bable que las sacrificaseu à la gloria estéril de no fàltar à lo pactado. Miéntras que los puertos de la monarquia poi luguesa que- dabao cerrados en ambos heroisferios à los buques de la marina britànica, el pabellon lusitano cubria los tesoros que salian de los varies puntos de America para Uenar las arcas de la metrô- poli 1.

Em Nome da Santissima Trindade. Havendo a Divina Providencia excitado nos augustes cora- çOes de Suas Magestades Fidelissima e Gathoiica o sincero de- sejodeeztinguir as discordias que tem havido escoltar aix las millas as duas co- 1 De AngelisCokeeion de escoltar aix las millas y doamentotetc. S Colecclon de Portugal, de Castro. En el nombre de la Santisima Trinidad. Para escoltar aix las millas pois de con- seguir tfto importantes objectes, se nomeou por parte de Sua Ma- gestade Fidelissima, por seu ministre plenipotenciario, o Excmo.

Joseph Moûinoconde de Florida Branca, cavalleiro da real ordem de Carlos IIIdo conselho de Estado de Sua Magestadeseu primeiro secretario e do despa- cho, superintendente gérai de correios terrestres e maritimos, e das postas e renda de escoltar aix las millas em Hespanha e Indias : os escoltar aix las millas, depois de haver-se communicado os sens plenos pode- res, e de have-los julgado expedidos em boa e dévida forma, convieidm nos artigos seguintesregulados pelas ordens e in- tençOes dos seus soberanos.

II, pâg. Liberdide doi priiiontirot. A cor6a de Porlugd renuncia a Colonia do Sacromento e a ilba escoltar aix las millas S. M ' bspaAa t fonnoAi. Gabriel e outros portos e territorios que se tem pretendido por aquella naçao na margem septentrional do rio da Prata, fazendo commum com os Hespanboes a navegaçâo d'esté, e ainda a de Uruguay, con- vieram os dois altos contratantes, pelo bem reciproco de am- bas as naçOes, e para segurar uma paz perpétua entre as duas, que a dita navegaçao dos rios da Prata e Uruguay, e os terre- nos das duas margens septentrional e méridional, pertençam privativamente à corôa de Hespanba ea sens subditos, até o lo- gar em que desemboca no mesmo Uruguay pela margem occi- dental rio Pequiri ou Pepiri-guaçû, estendéndo-se o dominio 1 Véase la preMnte obra, t.

II, pag. WÊHtfik T foutucal. Pedro, seguindo depois por suas vertentes até rio Jacuicujas duas margens e navegaçfto tèem preteu- dido pertencer-lhes ambas as corôas, convieram agora em que a dita navegaçfto e entrada fiquem privativamente para a de Escoltar aix las millas, estendendo-se o seu dominio pela margem méridional até arroio Tahim, seguindo pelas margens da lagoa da Man- gueira em linha recta até o mar ; e pela parte do continente ira a linha desde as margens da dita lagoa de Merim, tomando escoltar aix las millas direcQfto pelo primeiro arroio méridional, que entra no san- gradouro ou desaguadouro d'ella, e que corre pelo mais inme- diato ao forte portuguez de S.

escoltar aix las millas

I Sua Magestade Catholica, em seu nome e de seus herdeiros e successoces, cède a favor de Sua Magestade Fidelissima, de seus herdeiros e successores, todos e quaesquer direitosque Ihes possam pertencer aos terrilorios quesegundo vae explicado n'este artigo, devem pertencer à corôa de Portugal.

Miguel até à parte septentrional : cedendo Sua Magestade Fidelissima, em seu nome e de seus herdeiros e successores, a favor da corôa de Hespauha e d'esla divisâo, qualquer direito que possa ter as guardas de Chui e seu districto, à barra de Castilhos Grandes, ao forte de S.

Miguel e a tudo o mais que n'ella se compreheude. I i La misma libertad y derechos gozarân los habitantes, oficiales y soldados espaûoles que existieren en algunos establecimientos cedidos 6 renunciados à la corona de Portugal por el articule 4.

Esta regra se obsenrarft reoiprocamente em todas as mais cessOes que contém este tratado para estabeleoet os dominioR de ambas afi corôiis e seus respeotivos limites. Estagla se obsêrvarâ recipro- camente en todas las demas cesiones que contutiese este tra- tado para establecer las pertenencias de ambas coronas y siti respectives limites. Il IÎ7T. Ù7t pasar aguas abajo de dicha boca occidental del Japurd, ni del Para que se logre la mayor brevedad en dicbo reconociroiento y demarcacion de la liaea y ejecucion de los articulos de este tratado, se nombrarân los comisarios expertes de una y otra corte por provincias 6 territorios, de modo que à un mismo tiempo se pueda ejecutar por partes todo lo ajustado y convenido, comunicândose reciprocamenteycouanticipacion los gobemadores de ambas naciones en aquellas provincias la extension de territorio que comprende la coipisionyfacultades del comisario 6 experte nombrado por cada parte, E assim para isto, como para que no dito espaço por toda a fronteirase évite o asyio de ladrOes ou assassines, os govemadores fronteiros tomarao tambem de commum accordo as providencias necessarias, concordando o meio de apprehende-los escoltar aix las millas deextingui-los, impondo-lhes severis- simos castigos.

el Tribunal Correccional de Aix-en-Provence a pagar una multa de. euros por haber En un coche, escoltado por Guardias Municipales fue .. La milla verde es la adaptación cinematográfica de una novela del rey del terror Stephen . la cima de una monta?a no distante ni dos millas de la guarnici?n imperial, flameaba .. de aquella naci?n. Al llegar a M?xico fue escoltado hasta el interior reuni?n semejante a las que hab?an tenido lugar en Viena, Aix-jla Chapelle, Ley.

Y los que contravi- nieren â lo dispuesto en este articulo serincastigadosàarbitrio de la potencia ofendida, à cuyo fin se haràn notorias à los go- bernadores y comandantes las disposiciones de él.

El mismo castigo padecerân los que intentaren poblar, aprovechar 6 en- trar en la faja, linea 6 espacio de territorio que debaserneutro entre los limites de ambas naciones; y àsi para esto comopara que en dicho espacio por tcda la frontera se évite el asilo de laàrones 6 asesinos, los gobernadores fronterizos tomarin tam- bien de comuu acuerdo las providencias necesarias, concor- dando el medio de aprehenderlos y de extinguirlos con impo- nerles severisimos castigos.

Cumprimento ll'ftle tmlvdu. Y Su Majestad Fidelisima, en correspondencia de esta restitucionpromete que en tiempo algunosea de paz 6 de guerra, en que la corona de Portugal no tenga parte como se espéra y deseano consentira que escoltar aix las millas escuadra 6 embar- cacion de guerra 6 de comercio extranjeras entren en dicho puerto de Santa Catalina 6 en los de la costa inmediata, ni que en elles se abriguen ô detengan, especialmente siendo embar- caciones de potencia que se balle en guerra con la corona de Espaâa, 6 que pueda haber alguna sospecha de ser destinadas à hacer el contrabando.

Sus Majestades Gatôlica y Fidelisima barân expedir prontamente las ôrdenes convenientes para la ejecucion y puntual observancia de cuanto se estipula en este articule ; y se canjearà mûtuamente su duplicado de ellas â fin de que no quede escoltar aix las millas mener duda sobre el exacte cumplimiento de los objetos que incluye. Em fé de que, nés outres os infra-escriptos ministres pleni- potenciarios, assignâmes de nosso punho, em nome de nossoe escoltar aix las millas amos, e em virtude das plenipotencias com que para isso nos auctorisaram, o présente tratado preliminar de limites, e fizemos sellar com o sèUo de nossas armas.

Feito em Santo Udefonsono primeiro de outubro de mil setecentos setenta e sete. E Suas Magestades tèem auctorisado para este flm aos sens respectives ministres plenipotenciarioso Ezcmo. Francisco Inocencio i :. Su Majestad Catôlica el sefior rey D. Pirilitadet éo commcrcio. Pvriot e Iranitilos. Em segundo logar, um tratado de commercio entre as duas naçOes, no cual serao tam- bem promovidas e facilitadas as vantagens de ambas, e se es- tenderà dentro do mesmo termo.

Assim mesmo promeltem Suas Magestades que nenhuma das duas naçOes permittirà a commo- didade dos sens portos, e menés os transites pelos sens territo- rios da America méridional, aos inimigos da outra, quando in- tentem aproveitar-se d'elles para hostilidades.

PieilidadH de eomnio. Y en tercer lugar, un tra- tado définitive de limites para unes y otrosdominios deEspafia y Portugal en la America méridional, luego que hayan venido todas las noticias y practicâdose las operaciones necesarias para especificarlos. Asimismo prometen Sus Majestades que nin- guna de las dos naciones permitirâ la comodidad de sus puer- tos, y mènes el transite por sus territorios de escoltar aix las millas America méri- dional, â los enemigos de la olra cuando intenten aprovecbarse de elles, para hostilizarla.

Estes medios y precauciones para continuacion de la perpétua paz y escoltar aix las millas vecindad, no tendràn solo lugar en las tierras é islas de la America méridional entre los sûbditos confinantes de las dos monarquias, sino tambien en los ries, puertos y costas, y en el mar Océano, desdela altura de la extremidad austral de la isla de San Antonio, una de las de Cabo Verde hâcia el sur, y desde el meridiano que pàsa por T.

Tbomé, que actualmente sAo e fôrem para escoltar aix las millas future a escoltar aix las millas ciar na dita costa e portos, comportando-se n'ellas os vassallos portuguezes e bespanboes com a mais perfeita barmoniasem que por algum modo se prejudiquem ou embaracem uns aos outres.

Fernando do? Em fé do que, escoltar aix las millas outres os infra-escriptos ministres pleni- potenciarios, firmâmos de nosso punho, emnomede nossos augustes amos, e em virtude das plenipotencias com que para isso nos auctorisaram, os présentes artigps separados, e os fize- mos sellar com os sèllos de nossas armas.

Francisco Innogbncio de Sousà Coutinho. Fecho en San Udefonso, à prjimero de Qctubre de mil setecientos setenta y siete. Tratado de amisadè e garantia l entre a rainha a senhora D.

Maria I e D. Do original quo m gaardi ne arcbiTo da tecratarla de Eitado doa nagoeioi aitrangairot. Em nome da santissima Trindade. III, pâg. Tratado de amistad, garantia y comercio, ajuttado entre las eoro- nas de Espaha y de Portugal, y firmado eliA de marzo de Rttifieido el H. Il, pig. Deseandoi pues, Sus Majestades Catôlica y Fidelisima pre- caver para siempre aquellos. Maria, rainha de Portugal e dos Algarves, e o muito alto, muito poderoso e muito excellente principe D.

Carlos III, rei das Hespanhas e Indias, ajustaram njmear seus respectivos plenipotenciarios; convem saber: Sua Mages- tade Fidelissima a rainba de Portugal, ao excellentissirao senbor D. Joseph Moiiino, conde de Floridabranca, cavalleiro da real ordem de Carlos III, seu conselheiro de Estado, seu primeiro secretario de Estado e do despacho, superintendente gérai de correios terrestres e maritimes, e das postas e renda de estafetas em Hespanha e nas Indias ; os quaes instruidos das intençOes de seus respectivos soberanos, depois de haver-se communicado os seus plenos poderes e have-los julgado expedidos na dévida forma, tèem convindo, em nome de ambos os monarohasnos artigos seguintes.

ConncMnlet prometis reilprocit. ObUguioOM rectproMi. Nvutralidtde : defria reciprooa. I Delic'lui lie falti niooda ; materiii pruliibiilmi.

Jiprir religiosamente, sem faltar aos tratados que subsistem entre os altos contratantes e outras potencias da Europa. Sébas- tian, declaran los dos altos principes contrayentes,' que ademas de los crimenes especificados en dicbas concordias, se compren- den y ban de oomprender en las expresiones générales de allas, como si individualmente se hubiesen nombradolos dé- lites de moneda falsa, contrabandos de extraccion ô introduc- cion de materias absolutamente prohibidas en cualquiera de los dos reinos, y deïiercion de los cuerpos militares de mar 6 tierra; entregândose los delincuentes y desertores ; bien que de los castigos que se bayan de imponer â estes ultimes se excep- tùa la pena de muerte, à que no podrâ condenârseles, ofreciendo ambos monarcas conamtarla en otra que no sea capital.

Para t'acilitar la pronta ayi-ehension y entrega de unes y otros, ban DecUraelon reciproca. Obiervanciu del orilcolo 18 del Iralado de Utrecht. Eipeciflcacion de crtmenes. En consecuencia, pues, de dichos articules, y de haberse renovado, revalidado y ratificado en el articule 1" del tratado pieliniinar de limites todo el tratado de Ut"echt, se han prometido Sus Majestades Gatôlica y Fidelisuika cumplir y observar exactamente y en ferma especifica el contexte de escoltar aix las millas citados articules 17 y separadocomo literalmente consta de ellos.

Aiii li. Artigo 4. Aoii M N la m punM t eopatreio. Observancia del Iraudo de ta de mayff de PrubibifSeï que te lefintiilo. Collecçiu Ina irivilegios. Compra e vcuJu de iidgros. Sebastiao ; e a dita coUccçâo, auctorisada com as escoltar aix las millas so- lemnidades, se julgarâ e i8râ como escoltar aix las millas d'esté tralado, do mesmo modo que o sera tambem e se terâ como tal a lista ou aranzel de direitos, que se tem citado no artigo antécédente.

I6K Aet. Domingos, Gabo Fermoso e outi-os d'aquelle districto ; sem que por isso se emharace ou estorve o commercio dos vassallos de Portugal, particularmente dos das ilhas do Principe e de S. Auiilio rtetproco AUiembuueionM. TrtSco livra de negroi. Commercio do Ubaco. Eiecuçlo doi artigos. Em fé do que, nés outres os infrascritos ministres plenipo- tenciarios firmàmos com o nosso punho, em nome dos nossos augustos amos, e em virtude dos plenos poderes com que para i so nos auctorisaramprésente tratado, e o flzemos sellar com sèllo de nossas armas.

Feito no real sitio do Pardoa il de março de 1T Fbargisgo Innocincio de Sousa Goutinho. Fecho en el real sitlo del Pardo, à il de marzo de El gonde de Florida Blanga. Don Francisco Inockncio de Souza Goutinho. Su Majestad Gatôlica ratiflcô el anterior tratado por instru- mente expedido en el mismo sitio del Pardoel 24 de dicho mes y aiio, refrendado del secretario de Estado y del despacho de las Indiasdon José de Gâlvez.

Treaiigloi ' de negociacionei infractuotu. Nuevas negot'iaeionei enlTtOy Très siglos de negociaciones y tratados no bastaron à poner de acuerdo las cortes escoltar aix las millas Madrid y Lisboa sobre el deslinde de sus colonias, y estas cuestionesque babian empezado con su dominacion eu Americano terminaron con su decadencia.

Gada paso que daban, aumentaba las dudas y hacia mas dificil su resolucioQ ; porque carecian de un conocimiento exacto de las localidadesni podian adquirirlo por falta de documentes.

Despues de haber conferenciado en Tordesillasen Ëadajoz, en Lisboa, en Utrecht, sin poder Uegar â un avenimiento, y de- jando en toda su oscuridad el espiritu escoltar aix las millas las concesiones he- cbas por Alejandro YI en su famosa bula devolvieron las dos potencias â negociar en Madrid y en San Ildefonso, por los aûos de y Uno de elles fué el Sr.

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El mener de elles, D. Félix, nacido enpas6 de la uni- versidad de Huesca, donde empez S sus estudios, à la academia militar de Barcelona, para continuar los de la profesion à que lo destinaron sus padres. A los 48 afios recibiô su primer despacho de cadete en un regimiento de infanteria, donde pro bablemente se hubiera embotado su genio, si no bubiese bus- cado un teatro mas digno de él en los cuerpos facultatives del ejército : y del de ingenieros, en que hizo la Gampaûa deÀMca, se incorporé al de marina, para tomar parte en la demarcacion de limites en America.

Obstàculos que no estaba en sus manos remover, frustra- ron este plan, y le quitaron la gloria de haber contribuido à realizarlo. Tenemos en nuestro poder el borrador autégrafo de la correspondencia oficial de Azara con el virey Arredondo, en que le propone de hacer retirar la partida demarcadora de Gu- ruguati que era el punto en que debian reunirse los comisa- riospara no ocasionar gastos indtiles al erario.

Cansado de aguardar la coutestacion del virey, tomô sobre si el reti- S. ComIntIm tipatelti. Aura noBbndo Rugo biogrtflco de Aura. Toma parle en la demareuioa de limites en America. En la contestacion del marques de Grimaldi à la Memoria que en enero de le pasé el ministro de Portu- gal, D. Franeisco Ignacio de Sousa Goutifio, sobre los limites de la banda erientsd del Rio de la Plata, se diee entre otras co- saa, que o el Venedano Sébastian Gaboto,qae servia i los reyes cat6Ucoe D.

Fernando y Da. PalMdid iê la ladiMcion. Los reeonocinrientos de las oomisio- nes de limites creadas en virtud del tratado deque bu- bieran podido derramar una gran luz sobre estas materias, fae- ron relegados al olvido ; y à no haber sido por la insistenoia de un amigo de Azara, que se empeii6 en publicar sus obràsse bublera borrado basta el reeuerdo de sus trabajbsque fueron mucbos é importantesporque al desempefio de sus fundo- nés agregô el estndio de la estadistica y toologia del pais ; en cuyas rutiles investigaeiones no solo no fùé auxiliado por las autoridades localessino que las ballô dispuestas i esforbarle.

Topa ; lo que no pndo conseguir sino al cabo de mucbos aftos. Vino à Buenos Aires, donde se le ocup6 en reconocer los cam- pes del sud para colonizarlos, y los puertos del rio de la Plata para proyectar un sistema de defensa contra los escoltar aix las millas de las potencias extranjeras. Se esforzô tamMen en demostrar la con- I! La adopcîon de este plan di6 existencia al pueblo de San Gabriel de Datovi, en las cabeceras del Ibicui, y dsscargô al erario del peso de cerca de 80, dures al afio.

El marques de Escoltar aix las millas, al dejar el mando del Tireinato de Buenos Aires, représenté al rey estes servicios, que le recordaron el nombre y el mérito de Azara. SttitniMa mutria. El deseo de abrazar à su bermano D. Esta pérdlda, dolorosisima para él, le hundiô en una profunda tristeza, que no fueron capaz i atemperar los infinitos testimonios de aprecio que le prodiga- ronel rey y el pûblico.

Descendié al sépulcre, poco despues de haber ascendido al grade de gênerai, y cuando la Europaaplau- dia la publicacion de sus obras. Barbara Barquin, viuda de D. Pedro Gervifio, compafiero y colaborador de Azara en estas expediciones. Sean cuales fueren los defectos que se noten en sus produc- ciones, séria una injusticia rehusarle el mérito de haberlas preparado en medio de tantes motivos de desaliento y dis- gusto 0. Buenos Airei, Dia À las diei horas cuarenta y cinco minutes, Uegamos al valle de Itaguà, babiendo caminado siete léguas y média por caminos muy tortuososalgimos pedazos con muoba arena suelta rojiza, y otros con no tanta.

Asi escoltar aix las millas como aquel son arroyos de poca consideracion; el dltimo tiene su origen de unes bafiados formados de las aguas que filtran algunas colinas que le rodean, y desagua en la laguna Ipacaray : los dos se nadan cuando ' Uueve mucho.

No puedo decir à que numéro asciende su vecindario, porque no bubo quien me diera esta noticia, y solo pude saber que los frutos que cosecban son la mandioca, tabaco, mani, alguna cafta de azùcar, maiz y porotos, ûnica- mente para mantenerse; pues solo tabaco cogen para vender.

Luego que Uegamosrectiflcamos el instrumente, y despues de haber compuesto de unapequefiadislocacion el espejo semi- azogado, hallamos el cero en los " 46' 37" S. Amyot y Balan. Allin BMridkn dd Ml. St" Q. Desde la cumbre de la cordillera basta Piribebuy anduvimos cuatro léguas y cuarto por camiao or- tuoso, bastantes lagunitas; el terreno arena, asi como el del valle de Pirayû.

Desde la capilla hicimos las demarcacionessigdientes : — Pi- rayù al sur 78" 0. Distancia al pueblo de Tobaty, siete léguas; à la capilla de Nuestra Seflora de los Milagros, très y média léguas; todo à buen juicio. La feligresia de Piribebuy, segun nos informé su cura, tiene una jurisdiccion que comprende diez léguas de largo, en las cuales hay algunas vice-parroquias, para que no faite escoltar aix las millas admi- nistracion del pasto espiritual à familias que componen como 6, aimasque estàn avecindadas en aquellos campos.

Pasamos algunos pantanos y lagunas, solo una en que Uegaba el agua al encuentro del caballo; las demas no tenian tanta. Llegamos por fin â la casa escoltar aix las millas D.

Antonio Valen- zuela, à las siete horas cincuenta minutes, conceptuando haber andado sels léguas y un cuarto, por caminos poco tortuosos. Aqui nos quedamos à dormir para oir misa el siguiente diado- mingo, atendiendo â que de elloléjos de resultar atraso, nos era mas conveniente pasar de maâana'lo mas àspero de la cor- dillera.

La casa de D. Esta regularmente proveida de buenos ornamentos : en ella se administra el pasto espiritual à mucbo Yecindario que vive esparcido en las lomas y Vallès inmediatos. Dia Alas nueve horas y treinta y seis minutos pasamos uno de ellesy pudimos inferir signe su curso al nordeste. A las nueve y cin- cuenta y un minute pasamos otro como el anterior, y seguida- mente empezamos à subir por lo mas âspero y elevado de la cordillera.

Atravesando varies pantanos y malezales, continuâ- mes subiendo con mucho trabajo por lo fragoso del camino,ha- llando muchos àrboles atravesados en las estrechas sendas, por donde con mucha dificultad caminàbamos. Los caballos sentian mucho lo pedregoso del camino, y su suma desigualdad les ha- cia dispersar de unay otra banda, ocasionando al capataz y 17M.

Cunio de Ibiiiminl. El curato de Ibitiroini es de una large extensiony no tiene mas que seisdentas aimas empadronadas : las cosechas de estes vecinos consisten en cafia de aziicar, tabaeo, mandioca y poco mais.

El marqués de Lede, del campo de Francavilla fue solo a Mecina, donde hizo reparar el fortín de los capuchinos, y para mantener a la devoción del Rey Católico la ciudad, la quitó las gabelas por tres años, y ésta hizo un donativo para las presentes ocurrencias. Todo el reino de Sicilia se armó contra los alemanes, a cuyos piquetes mataban a traición. Publicó un edicto el conde de Merci, en que mantendría el Emperador los privilegios a aquel reino, y quitaba catorce años de las gabelas si le prestaba la obediencia.

El día 2 de junio, el marqués de Lede reconoció los pasos de Ibiza, Saponara y Calvaruzo, donde dejó algunas veteranos con caballería del país. La brigada de Castilla, con dos regimientos de caballería, los puso en la Escaleta; la de Saboya, en Taurmina. Envió al marqués de San Vicente a Catanea; al conde de Montemar, a Palermo, para dar disposición de víveres para Mecina; y el ejército, a esta ciudad.

Se la entró bastimentos a lomo de mulos, porque estaba poseído de los enemigos el mar. Por esta parte era difícil traerlos a Palermo; por eso ocupó Montemar a Castel-Brolo, en la costa de Tramontana, por donde los enviaba por agua, y sólo tenían que andar por tierra a Francavilla ocho leguas. El día 17 de junio se puso en marcha el general Merci con todo su ejército desde el río Rofolino en dos columnas, para ocupar las alturas de las tres fuentes.

Una columna marchaba por lo largo del río, otra por el camino de Castro Real. Las partidas avanzadas de los españoles se iban retirando, que era el destacamento del conde de Pezuela, cuatro compañas de granaderos de las guardias y los cincuenta carabineros y la infantería que ocupaban a Fondaco.

El día 19 se prosiguió su marcha, empezando a bajar por la montaña que domina el río de Francavilla, haciendo que tres columnas tomasen las opuestas alturas a esta escoltar aix las millas. Prosiguieron los alemanes a bajar por cuatro distintas partes al río a la parte de los capuchinos, y una columna mandada del general Schendorf, como iba llegando a llano, tomó la marcha de la montaña que dominaba la siniestra de los españoles, ocupada por el brigadier don Pedro de Tancour con el regimiento de Ibernia y ocho piquetes.

El marqués de Lede reforzó a Tancour con el segundo batallón de Castilla, pero los alemanes le apretaron tanto que, perdiendo mucha gente, se retiraba. Lede hizo guarnecer el sitio con el batallón de Ibernia, sostenido del de las guardias valonas, al mismo tiempo que los enemigos bajaban de la altura. Los piquetes, atacados por todas partes, se retiraron a su cuerpo, haciendo oposición en los capuchinos a diez batallones de los alemanes, que atacaron con vigor imponderable aquel puesto.

Los batallones de Utrech y Borgoña, con las guardias valonas, ocuparon el puente; allí pusieron su mayor esfuerzo los alemanes, pero siempre con infelicidad. La columna que bajó cara a los capuchinos dio varios asaltos, pero fue siempre con gran pérdida rechazada, de género que volvía la espalda.

Enardecido Merci, acudió con los escoltar aix las millas no tuvo mejor fortuna, y quedó gravemente herido. No las atacaron los dragones y granaderos a caballo alemanes, porque éstos guardaban la falda del monte y el camino de la Mora, manteniéndose con gran valor al fuego de dos batallones, aunque algo desordenados.

Los generales Zumiunghen y Schendorf se empeñaron ambos valerosamente varias veces en este escoltar aix las millas, siempre con infelicidad, sin reparar que era insuperable el campo español, porque el ala derecha estaba cubierta del río y de una línea presidiada, como hemos dicho, de tropas tan bravas; en medio había un convento de capuchinos fortificado y guarnecido de escogidos batallones; el ala siniestra estaba animada a Francavilla, cubierta de varias viñas y paredes, con que no podía ser por todas partes atacado el campo, ni pelear la caballería.

Los españoles perdieron dos mil hombres, al teniente general don Juan Caracholi, al señor de Tancour, don Francisco de Ayala y hasta cien oficiales; quedó herido el caballero de Lede en una espalda, y don Pedro Seatahufort, con no pocos oficiales de las guardias españolas y valonas. Al otro día ocupó el general Merci las montañas que los españoles poseían, fortificando las gargantas de ellas, porque no pudiese ser atacado.

Muchos culparon a Lede de que en esta ocasión pudo haber acabado con los alemanes si los hubiera seguido. Pasó a aquel reino el general Merci para curarse, y quedó Zumiunghen con el mando. El día 2 de julio, después de dos veces rechazados, tomaron los alemanes a Taurmina; los paisanos les facilitaron la entrada por una puerta, por no padecer los estragos de la guerra, o por inteligencia, como se creyó, de algunos clérigos del lugar.

El castillo de Mola, que presidiaba con doscientos hombres el teniente general del regimiento de Saboya, Pastor, se defendió con un imponderable brío, aun batido con dos cañones de veinticuatro y sufrido muchas granadas reales incendiarias.

Volvió de Palermo el conde de Montemar con el regimiento de Brabante y los batallones de Lombardía, Landini y uno de suizos, para reforzar el ejército. También aumentaron el suyo los alemanes con la gente que volvió de Escoltar aix las millas y la que sacaron de Siracusa, introducida por Taurmina y Santa Tecla, donde tenían intención de poner su campo después de haber fortificado el paso de las Tres Fuentes, que facilitaba la comunicación con Melazo, de donde estrechaban el campo español e incomodaban las tropas; pero el conde de Pezuela, con trece compañas de granaderos que mandaba el coronel don Patricio Landini, y trescientos dragones de su regimiento, desalojó a los alemanes de las Tres Fuentes, después de un choque muy sangriento.

Estas disposiciones daba desde Calabria el general Merci, que luego que mejoró sus heridas volvió al campo para emprender el sitio. Los españoles volvieron a ocupar a Taurmina, y don Lucas Espínola, gobernador de Mecina, se prevenía a la defensa.

Estas noticias las pintó el genio y el afecto varias en la corte de España. La fortuna abrió camino. Estaba, como dijimos, arrestada en Inspruck la princesa Clementina. Sobieski, mujer del rey Jacobo, y había el Emperador mandado pasase a la ciudad de Olao, en Silesia, donde estaba su padre. El pretexto era bajar a ver la Italia.

Esta fuga no supieron los ministros de Inspruck hasta después de dos días. El Emperador, por dar satisfacción al rey Jorge, sacó de sus Estados al príncipe Sobieski, que suponía autor de esta fuga.

A 2 de mayo, tomando un pequeño fuerte poco distante de Fuenterrabía, quedó embestida la plaza; las guarniciones de los fuertes que habían tomado quedaron prisioneras. Bajó el duque de Berwick al ejército, y halló esparcidos unos papeles impresos en Madrid en 7 de abril, cuyo título era: Declaración de Su Majestad Católica sobre la resolución que ha tomado de ponerse a la cabeza de sus tropas para favorecer los intereses de Su Majestad Cristianísima y de la nación francesa.

Que la ternura y amor que mostraba el Rey Católico a los franceses, era sólo de palabra, porque no podía haber mayor hostilidad que querer introducir en un reino la guerra civil, la convocación de los Estados, la deserción y la rebeldía; que por la renuncia se había hecho ya el Rey Católico príncipe extranjero para la Francia; que con actos solemnes había reconocido aquella Regencia, y la quería de nuevo reconocer si faltaba a sus aliados; que el Rey Católico hacía injuria a sus franceses, creyéndolos capaces de deserción, y que él sólo les mandaba combatiesen por la paz, esperando en la nobleza española para obtenerla y librar al Rey de un yugo extranjero perjudicial a su gloria y a sus intereses.

El rey Felipe salió de su corte acompañado de la Reina, aunque estaba preñada. Iba también el príncipe de Asturias y el cardenal, que dispuso se quedase en Madrid el ayo del príncipe, duque de Populi, a quien tenía aversión porque no era de su dictamen; la naturaleza, la ingenuidad y la prudencia del duque no podía ser de la aprobación de Alberoni, el cual, poco después, escoltar aix las millas sabido que en una conversación había dicho el duque no haría el regente de Francia la paz si no sacaba el Rey de sus dominios al cardenal, éste, mal dueño de sí mismo, hizo que se le quitasen al duque de Populi sus empleos y que saliese desterrado de la corte.

Estos engaños padecía el Rey, mal informado, porque, tiranizados sus oídos del cardenal, sólo a él escuchaba.

Se habían con dificultad juntado quince mil hombres que marchaban a Navarra, pero era ya tarde, porque desde los 27 de mayo tenía Berwick la trinchera abierta contra Fuenterrabía.

Habían bajado otras tropas del Rosellón, y llegado al campo el príncipe de Conti para servir de aventurero en él. Los franceses embarcaron en tres fragatas inglesas ochocientos hombres, mandados por el caballero de Guire, y llegando a 12 de junio a la playa de Santoña, cañonearon las baterías que los españoles habían hecho, guarnecidas de setecientos miqueletes catalanes.

Por la noche desembarcaron a un cuarto de legua; los franceses ocuparon la vecina montaña de escoltar aix las millas al amanecer bajaron a la villa, y huyendo las milicias urbanas que la defendían, prestando la obediencia, ocuparon los enemigos los fuertes y las baterías.

Estaba entre ellos el coronel Stanop que había propuesto esta expedición a Berwick, porque ya sabía que había enviado el Rey Católico a Santoña a don Carlos Grillo, para dar calor a la construcción de unos navíos que estaban por acabar; tres quemaron los franceses, y los materiales para construir otros siete, llevando cincuenta piezas de cañón.

Esto aumentaba las sospechas en el Rey Católico. Esta guarnición, la de Fuenterrabía y la de la pequeña isla de Santa Clara, que también se habían rendido, pasaron a Pamplona, porque Berwick con los españoles era franco, galante y liberal, pues ni ellos ni estas plazas se defendieron hasta darle lugar a no serlo. Esto impidió el sitio de Rosas, de género que, ocupados los franceses en la toma de pequeños castillejos en la de Urget, ocupando también a Castel Ciudad, se acuartelaron; pues ya le parecía a la Francia que en aquella campaña podía desengañarse de sus falsas ideas Alberoni.

Alberoni, viendo todo el mundo conjurado contra él, haciendo rostro a las amenazas de la fortuna se esforzaba a mantenerla. Todo el arte era apartar del Rey a cuantos podían influir consideraciones que avivasen la reflexión, y tenerle falto de noticias.

El mismo peso de los negocios detenía o confundía los expedientes, ni era un hombre solo capaz de darle a cuanto ocurría en tan varias líneas, y así, ni respondía muchas veces a lo que se le consultaba, ni la respuesta, si la daba, era categórica y formal, y como escoltar aix las millas le bastaba el tiempo a evacuarlo todo, no tenía registro alguno al pie de la letra de lo que ordenaba, y así salían muchas órdenes encontradas y repugnantes.

Brilló entonces la constante fidelidad de los españoles; decían algunos que menores trabajos habían padecido en tan dilatada guerra, que en estas violencias de un extranjero. Conocía Alberoni que estos desórdenes estaban desaprobados del celo y la prudencia del confesor del Rey, el padre Guillermo Daubanton; no ignoraba, por conjeturas, que éste imponía al Rey en el conocimiento de la ruina de su Estado y la obligación de repararla, y así, determinó aplicar sus esfuerzos a sacarle de España, y llamó a ella otro escoltar aix las millas español, que había treinta años que estaba en Italia, llamado Francisco de Castro, muy conocido de la Reina y que la había acompañado con el padre Veleti, jesuita también, su confesor, hasta Pamplona; éste pensaba introducir en la gracia del Rey, para echar a Daubanton.

Era el padre Castro de apreciables calidades, virtuoso y político; se le hacía injuria en creer sujetarla esclavo su dictamen al de Alberoni pero éste, para salir del día, sólo quería apartar a Daubanton y probar nueva fortuna.

A este tiempo, también turbó la cabeza del cardenal y puso en aprensión la España la invasión de los ingleses en Galicia. A 10 de octubre entró en la bahía de Vigo con una escuadra inglesa escoltar aix las millas vicealmirante Michelles; traía hasta cuatro mil hombres de desembarco, mandados por el vizconde Chacon; a tres leguas de la villa desembarcó los granaderos, y los escoltar aix las millas en batalla.

Los paisanos, desde las alturas, hacían bastante fuego, con poco efecto, porque era de lejos. Rindióse a 21 de octubre; salió la guarnición libre, y los ingleses saquearon aquellos almacenes, que estaban llenos de los pertrechos que habían dejado las naves destinadas, como se ha dicho, al desembarco de Escocia, cuando la tempestad las volvió a las costas de España. Esta expedición nada tenía de heroico. Había ya formado su línea de contravalación el general Merci contra la ciudadela de Mecina, a la cual se había reducido en 19 de agosto don Lucas Spínola, cerrando a Terranova, después que la defendió cuanto pudo, porque ya estaban perdidos los castillos de Matagrifón y Castelazo, mal defendidos de sus comandantes, que en cortos días con igual defensa los entregaron, quedando la guarnición prisionera de guerra.

En la noche del día 19 tiraron los alemanes una paralela desde la cortina que del bastión de Don Blasco va a la ciudadela, hacia Santa Teresa, en el mimo paraje que los españoles construyeron la batería llamada de Mariani. El marqués de Lede se resolvió marchar a dicho socorro, dando las providencias para que se pudiese subsistir la caballería, que estaba en mal estado por falta de forrajes, y se habían escoltar aix las millas en las tropas españolas muchas y peligrosas enfermedades, causadas de las mutaciones de aquel reino, que las padece crueles, aunque no muy dilatadas.

Se envió a ocupar el campo de Rometa, y se mandaron encaminar las harinas a Castro Real y Barcelona. Daba el marqués de Lede algunas razones a su lentitud, y entre otras la falta de medios; cierto es que muchas veces la había, porque los caudales que el Rey Católico tenía en Italia no podían pasar a Sicilia con la prontitud que era menester, por falta de letras, porque nadie se quería cargar de meter en su barco un dinero que, si le cogían los enemigos, estaba hasta el bastimento perdido.

Patiño, que desde el mes de abril había salido de Sicilia para España. Los banqueros de aquella isla, escoltar aix las millas podían anticipar tantos caudales ni querían aventurar los que tenían, porque era claro que, perdida Mecina, no le quedaba al Rey de España plaza alguna, y no se podía mantener en el reino.

Esto desalentaba a los paisanos, y toda la tierra que cubrían las plazas contribuía y estaba a devoción del Emperador, con que, ya en caso desesperado, no tenía el marqués de Lede otro partido que tomar que venir a las manos. Este parecer dio Montemar en 9 de septiembre en el campo de la Metta, pero no le pareció al marqués de Lede seguirle, porque imaginó insuperables las líneas de los enemigos con tan poca infantería española, habiendo dejado en Francavilla tres mil hombres y teniendo un grueso destacamento en Palermo; firme en que si perdía aquella ocasión no tenía tropas con que mantenerse en el reino, y era su instrucción dilatar, como hemos dicho, cuanto pudiese la guerra.

Por el tanto maliciaron algunos que estas detenciones del marqués de Lede no tenían su principio en el natural ardimiento del rey Felipe y su ministro. Después de esta pérdida se retiró el marqués de Lede a Bronte. El día 8 de octubre, estando asaltando los alemanes en revellín de la ciudadela, entró en el faro el convoy de Bonneval, que a 28 de septiembre había partido de Vado. Con todo, abierta la brecha al cuerpo de la plaza, sostuvieron nueve asaltos antes que hiciesen la llamada, que fue a 18 de octubre, después de tres meses de sitio.

El marqués de Lede se volvió a retirar a su antiguo campo, bajo de Etna, en un fuerte, forrajeando cuanto había entre Mecina y Palermo, por si los alemanes intentaban pasar por tierra a aquella capital. Esta entera rendición de Mecina quitó gran parte de país a los españoles; y como había el Emperador nombrado virrey de aquel reino al duque de Monteleón, pasó éste luego a Mecina, de lo que se experimentaron no pocos inconvenientes, partido el mando político y militar donde lo encadenado de las dependencias mantenía en disensión los jefes.

La Francia y la Inglaterra respondieron que estaba capitulado no alterarle por suceso alguno, fausto o infausto, de la guerra. Éstas que parecían respuestas imperiosas y dar la ley, desagradaban sumamente al Emperador; pero pedía la necesidad contemplar a los que se habían declarado amigos con esperanza de que si poseía la Sicilia por fuerza de sus armas como se lo ofrecía el conde de Merci, podía dilatar las condiciones favorables a la España, que consistían en la renuncia a aquel trono y el reconocimiento de sucesión a Toscana y Parma.

En la renuncia había determinado no dejar el título de Rey Católico, del cual no sólo usaba, pero cuando se ofrecía creaba grandes de España, porque le era pesado irse despojando de aquella prerrogativa o señal de acción a la Monarquía española, que tanta guerra y trabajo le costaba; ni veía de buena gana que todavía pusiese en sus dictados el duque de Saboya ser rey de Sicilia, porque también se intitulaba rey de Cerdeña; pero su ministro en Viena fingía no entender este desagrado del Emperador, y había muchos meses que instaba le ganasen a su amo la Cerdeña por fuerza de armas.

Había ya determinado esta expedición la corte de Viena, con acuerdo de sus aliados. La Francia ofrecía sus galeras, y con efecto, creyendo se ejecutaría esta empresa, las hizo pasar a Génova mandadas por el bailío de la Platería. Tenía prevenidos el Emperador ocho mil hombres a cargo de Bonneval para eso, y todo tren de artillería; y hasta doce mil, con las provisiones y víveres, daba el duque de Saboya. A este efecto previno en Génova gran cantidad de granos. Era su gobernador general don Gonzalo Chacón, y de caballería lo era el vizconde del Puerto, hombre esforzado y vigilante, que puso aquel castillo en la mejor defensa.

Envió el ministro, que residía en Génova, cantidad de municiones, y estaban las tres plaza de aquel reino prevenidas para una larga resistencia. Las cosas de Sicilia no pedían esta distracción de armas del Emperador, y clamaba incesantemente Merci se le enviasen las tropas destinadas a Cerdeña, contra la cual siempre había tiempo; y ganada la Sicilia no escoltar aix las millas podía mantener aquella isla, porque cargaría contra ella toda la guerra. A esta sazón también se fulminaba un riguroso proceso en Viena contra el conde Nimsech, cuñado del conde de Altam, que era muy favorecido del Emperador.

Estaba, empero, en suma en desgracia del regente y del duque de Parma, su soberano, a quien después que fue cardenal no tenía tan perfecta atención como era justo. Hízose preciso a los que aborrecían la guerra y temían peligrar en ella, apartar este hombre de los oídos del Rey.

Hallóse acaso en París milord Peterbourgh, que por su gusto, como muchas veces acostumbraba, había de bajar a Italia. A Peterbourgh no le pareció conveniente ir a Plasencia, por no dar sospechas a los curiosos, y en Novi, lugar del Genovesado, tuvo de acuerdo una conferencia con un ministro de Parma; este secreto entonces le penetraron pocos. También éste le dio las instrucciones necesarias, y escribió cartas confidenciales de su puño al Rey Católico y a la Reina.

Todos los instrumentos se reducían a ponderar al Rey el reconocimiento de la ruina de su Monarquía, la necesidad de la paz y la imposibilidad de hacerla, teniendo mano en el gobierno Alberoni, no sólo por su conocida pertinacia, sino porque creían los enemigos que no serían sólidas y firmes las convenciones, estando a los oídos del Rey un ministro a quien creían de tan mala fe, y que no reputaba cosa abominable el faltar a la palabra.

No costó poco trabajo a Scotti tener una larga y secreta audiencia con los Reyes, porque Alberoni, que tan sospechoso y tan lleno de recelos vivía lo que a todo ministro le sucedeaplicaba el mayor cuidado a que nadie hablase con el Rey; conocía estar perseguido de todos, y con especialidad de todas las potencias enemigas de España. Pidió el cardenal se le permitiese una vez hablar al Rey o la Reina; negósele, y se le concedió escribir; creyeron muchos que el Rey no leyó esta carta, y le mandó responder que escoltar aix las millas.

El Rey le dio el suyo y una escolta, y le insinuó iba seguro hasta Italia, por lo cual escribió al rey de Francia se le concediese. El cardenal luego trató de poner en salvo sus papeles, por varias partes y caminos extraviados. A 11 de diciembre salió el cardenal de la corte para Aragón; un oficial le alcanzó en Lérida, pidiéndole de orden del Rey algunos papeles que no se hallaban, y para eso las llaves de sus cofres, que entregó puntualmente.

También se le halló una letra de cambio de En este encuentro le mataron un criado y dos soldados del Rey. El cardenal, saliendo de su calesa, llegó a pie a Girona disfrazado, entró en Francia con pasaporte del Cristianísimo, y un oficial del regimiento de la Corona le fue acompañando hasta Antibo. Esto mismo insinuaba con términos oscuros en sus cartas el cardenal a sus amigos, principalmente a los que tenía en Génova, donde pensaba hacer su mansión, y se le prevenía un cuarto en el convento de los padres claustrales.

El Rey se explicó con todos sus ministros que servían en las cortes extranjeras de lo indignado que estaba contra Alberoni; y en prueba de que había hecho muchas como sin su noticia, pidió las cartas originales que Alberoni les había escrito desde el año 16, y copias de las de los ministros a Alberoni, con cuenta de los caudales que de su orden habían administrado. Al ministro que residía en Génova se le ordenó invigilase en los pasos y operaciones del cardenal.

Todo era haber desaprobado el Rey, mejor informado, lo que Alberoni había hecho. Uno de los rebeldes que estaban en Italia, pasó con patente del Cristianísimo a ponerse a la cabeza de ellos. La ausencia del cardenal volvió a estrechar con el Rey al marqués de Grimaldo, por quien corrían los negocios de Estado, y otros los principales de la Monarquía. La respuesta, por no perder el método hasta aquí observado, toca al siguiente año, porque éste expiró sin que en el breve término que quedaba de él desde la salida del cardenal se pudiesen componer cosas tan grandes, aunque luego que éste dejó la España entraron los aliados en esperanza de que estaba concluida la guerra, porque contra ella fuertemente trabajaba en Madrid el duque de Parma, por medio de su ministro Anníbal Scotti; y el abad Dubois se entendía ya con el confesor del Rey Católico, para persuadirle la paz.

Quería que al Emperador le costase la Sicilia dar un equivalente al duque de Saboya, y no sujetar feudatarios del Imperio los Estados de Toscana y Parma. Los aliados no querían mudar una letra de lo ya convenido entre ellos, y esto era lo que embarazaba al Rey Católico, combatido presentemente del dolor de haber muerto el infante don Felipe en 29 de noviembre, a los siete años cumplidos de su edad.

De esto se tomaba pretexto para no admitir en España el padre Francisco de Castro, que ya se enderezaba a ella, porque era hechura de Alberoni y no quería el Rey mudar de confesor, como el cardenal alguna vez se lo había insinuado. Castro llegó después a Alicante, pero no se le permitió pasar a Madrid, diciendo cesaba el motivo a que le llamaban, que era a ser maestro del infante don Felipe.

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El Regente despreció tan vil ofrecimiento, y todo llegó a noticia del Rey Católico: el modo se ignora. No la hemos visto, pero sí alguna minuta de ella enviada de Francia, cuyo resumen también se vio en las cortes de París, Viena, Londres, y en muchas de Italia; y muchos fueron de parecer que esta carta fue mandada hacer y prohijada al cardenal, que siempre se ha mantenido con inclinación a los intereses de España.

Que se restituirían a la Escoltar aix las millas las plazas tomadas en Europa y en América. Que se evacuaría la Sicilia, y las tropas españolas serían transportadas a gastos de los aliados, con escoltar aix las millas, artillería y municiones a España.

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Que restituirían todos los navíos y buques tomados en esta guerra, principalmente en la acción de 11 de agosto del año de 18, en los mares de Siracusa, y el navío del señor de Martinitz, que se había retirado a Brest con dinero y efectos de la España.

Que la cesión de Sicilia al Emperador sería con el derecho de reversión, como se había dado al duque de Saboya. Que se restituiría Puerto Mahón y Gibraltar al Rey. Que los Estados de Toscana y Parma no estuviesen sujetos al Imperio como feudos. Que la sucesión se extendería a las hembras, y que pasaría desde luego el infante don Carlos a Toscana, donde, ni en Parma, no había de haber presidio alguno. Que se debiese solicitar la restitución de los Estados de Castro y Roncillón, que posee el Papa en perjuicio de la Casa de Farnés, porque en la investidura de Pablo III, en la erección de aquel ducado, las mujeres venían nombradas a la sucesión, en falta de varones, y aun los hijos naturales de la dicha Casa.

Que el Rey Católico se reservaba en el Congreso otros puntos pertenecientes a los vasallos, y que nombraría sus plenipotenciarios cuando se hubiesen concordado en el lugar. Los Estados Generales enviaron copia de este proyecto a París, donde los ministros de los aliados, en 19 de enero, tuvieron sobre esto una junta, y declararon habían visto con dolor estos artículos que destruían el tratado de Londres y París, que servían de basa inmutable a la paz, sin los cuales no se podía ejecutar, y declararon proseguirían en la guerra si expiraba el término dado al Rey Católico.

Los holandeses despacharon luego un expreso a Madrid, para que escoltar aix las millas ministro esforzase sus oficios a que el rey Felipe se conviniese. El conde Stanop envió también a Madrid al secretario Schaub. No se descuidó el Regente con el padre Escoltar aix las millas, ni el marqués Anníbal Scotti con la Reina: y con el marqués de Grimaldo.

Estos artículos son los mismos que he le fueron propuestos; y referimos el año antecedente. Luego el príncipe Pío pasó a Castel, ciudad ya de antemano bloqueada, y la noche del día 22 de enero abrió la trinchera contra la torre Blanca; dos días después capituló la guarnición, que era sólo de cincuenta hombres, y quedó prisionera de guerra.

Quedaba el castillo, que a los 29 se rindió. Esto, aunque parece cosa de poca importancia, era de suma entidad para sosegar los rebeldes de Cataluña, a los cuales pudo después el príncipe Pío perseguir con mayor comodidad, bien que los cabos principales se pasaron a dominio del Rey Cristianísimo.

Medea (1797)

Con estos despachos llegó el día 24 de febrero el padre Maineri escoltar aix las millas Génova, y entregando luego al Dux sus cartas, escoltar aix las millas juntó los colegios, aunque era día de fiesta, donde hubo reñida disputa, porque no le faltaban a Alberoni entre aquellos senadores algunos amigos.

Por pluralidad de votos, viendo asegurar al Pontífice que esta prisión importaba a la religión católica, se mandó arrestar en la propia casa en que vivía en Sestri, poniéndole por guarda una compañía de soldados, con el coronel Mogavi siempre a la vista.

Este arresto de pareció al Gobierno provisional, porque no determinó entregar la persona del cardenal si no le constase ser reo convencido en materia de religión; por eso, respondiendo el Gobierno en carta del secretario Juan Vicente Ventura al cardenal Imperial, insinuó necesitaba saber individualmente los cargos que al cardenal se le hacían, para ver si era digno de ser entregado sin violar el derecho de la hospitalidad.

El día 2 de marzo, escoltar aix las millas padre Maineri presentó al Dux copia del Breve pontificio, porque el original no le dio hasta el día 8, en que también llegó la respuesta del cardenal Imperial, que contenía lo mismo que el Breve.

Se reducían los cargos a tres puntos:. El marqués de San Felipe, su ministro en Génova, había hecho fuertes representaciones para que no se sacase al cardenal del arresto, porque tenía en ello interés su Soberano, y que se le entregasen cuantos papeles tenía en su poder el cardenal, pertenecientes al pasado Ministerio que ejerció en España. Dieron por excusa al rey Felipe que le habían recibido porque venía con su pasaporte y de otros príncipes.

Alberoni, viéndose perseguido de todos, imploró patrocinio del Emperador, que no se lo quiso otorgar, aun ofreciendo aquél descubrirle secretos que le importaban; pero le toleró, sin darse por entendido de que se había refugiado el cardenal a algunos feudos de Lombardía, porque saliendo con gran secreto de Sestri, y enviando algunos criados suyos por otros parajes para engañar las conjeturas, pasó a uno de los feudos imperiales, abrigado de sus amigos y conocidos, que los tenía muchos en Lombardía; y de género se robó a los ojos y a la noticia del mundo, que raros sabían con certidumbre dónde se hallaba, y muchos creían que escondido en Génova.

Pero el cardenal Pauluci declaró, en nombre del Pontífice, que no sería admitido, como ni lo fue Balbi del Rey Católico, que mandó en sus fronteras y puertos de mar no se le permitiese entrar en sus reinos cuando ya estaba previniéndose a partir, y ordenó que su ministro en Génova esparciese esta noticia sin participarla de oficio, en lo que mostró el Rey benignidad, porque le quitó a Balbi el desdoro de retroceder.

El cardenal Escoltar aix las millas, antes de salir de Sestri, escribió una carta al cardenal Pauluci en 20 de marzo, y al decano del Sacro Colegio, el cardenal Fulvio Atali, en que hablando con la mayor veneración del Sumo Pontífice, daba las disculpas a los cargos que no ignoraba se le hacían, creyendo que sólo eran los tres ya mencionados en el breve del Papa y carta del cardenal Imperial.

Todo era enderezarse a Palermo o a dar una batalla, porque Merci quería ganar la Sicilia antes que los españoles, en virtud del Tratado admitido por el Rey Escoltar aix las millas, la dejasen; sin reparar que se le daba con certidumbre lo que buscaba con riesgo, y porque si perdía una acción general podían mudar las cosas de semblante, porque el Emperador tenía muchas cosas a que entender, y el rey de Inglaterra empezaba ya a estar impaciente que se le dilatase la investidura de Bremen y Werdem.

Conocía que era arte de la corte de Viena para tenerle dependiente, y esto llevaba mal la soberbia de los ingleses. Estos Arbitrios había inspirado al Regente un tal Lauus, inglés, que ha muchos años andaba por el mundo, porque no podía, por un homicidio, volver a su patria.

Había dado al marqués de Lede facultad de hacer una suspensión de armas, por si ganando tiempo se pudiese abrir el Congreso de Paz antes que saliesen de aquel reino los españoles. El marqués de Lede se mudó a Valguarnera, pero viendo que los enemigos por la derecha podían tomarle las espaldas y no era lugar de tener segura la escoltar aix las millas, marchó hasta Escoltar aix las millas.

Merci ocupó el campo de Alcamo, y cuando supo que los españoles entraban en Palermo, tomó su marcha, y el día 23 de abril bajó por la montaña vecina a la ciudad y se acampó en la llanura a tiro de cañón del ejército enemigo, con la izquierda a Monte Peregrino, que ocupó luego; a la derecha, la montaña llamada la Escala, de Carini. Los españoles tenían su derecha al fuerte del muelle de Palermo, y la izquierda, a boca de Falco, bien atrincherado el frente y ocupadas y fortificadas algunas casas.

El día 26 destacó dos navíos de guerra y una balandra y cañones. Dos puestos que al pie de Monte Peregrino tenían con cien hombres ocupados los españoles a la marina, luego los desampararon escoltar aix las millas alguna pérdida.

El día 29, al amanecer, los alemanes atacaron una casa al pie del monte, que ocupaban quinientos españoles muy avanzada de su línea. La noche antecedente había adelantado Merci seis batallones de dicho monte, y con el favor de las sombras pudieron ocupar las alturas escoltar aix las millas aquel puesto, desde las cuales, haciendo un gran fuego, se trabó una corta disputa; porque viendo los quinientos españoles que se movía el ejército contrario a sostener a los suyos, escoltar aix las millas retiraron hasta un reducto que había Lede mandado hacer, donde se formaron y mantuvieron batidos de cinco piezas de cañón de campaña.

El día 30 se empezaron a cañonear los ejércitos; trabóse alguna escaramuza, en que se retiraron escarmentados los coraceros de la guardia de Merci, y ya se movían las alas de las líneas para acometer, cuando en una faluca despachada de Génova llegó al marqués de Lede orden de su amo de cesar toda hostilidad y evacuar los reinos de Sicilia y Cerdeña.

Diósele para esto poder amplio con su instrucción, y luego avisó al general Merci, que ya estaba puesto en batalla. Eran las fuerzas iguales, y se peleaba a vista de la capital, creyendo cada uno que en aquel día se decidiría tan dilatada cuestión.

Los palermitanos hacían desde las murallas plegarias y rogativas por los españoles, aguardando la batalla: cuando vieron retirarse las tropas y se publicó la causa, no hubo demostración de queja y dolor que no hiciesen. En un raid sobre la costa escoltar aix las millas noroeste de Italia, Duncan logró capturar numerosos barcos y destruir grandes cantidades de suministros en puertos fortificados enemigos. En la acción sufrió 4 muertos y 11 heridos. En marzo de se iniciaron los trabajos para adaptarla al servicio como lazareto y en mayo comenzó a cumplir esas funciones en Sheerness y desde en Standgate Creek.

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